A l’occasion du Festival de Deauville et de la projection en avant-première du film français “Comment je suis devenu super-héros“, de Douglas Attal (adapté d’un roman de Gérald Bronner), le journaliste Michel Valentin m’a interrogé pour Le Parisien en qualité d’auteur de “Super-Héros, Une Histoire Française” au sujet des super-héros qui n’ont pas été créés dans les comics américains.
J’en ai bien entendu profité pour citer un ou deux “champions hexagonaux” mais aussi quelques collègues nés dans d’autres contrées. Précisons encore une fois que bien que j’ai signé deux livres sur les super-héros français et les resituer dans une certaine généalogie, mon idée n’a jamais été de les installer comme seule alternative aux américains. Disons que les super-héros français existent depuis longtemps et qu’ils n’ont pas, globalement (et sauf parodie) de raison d’être réduits au rang de “pastiche” des américains. C’est pourquoi il est toujours intéressant de citer le japonais Ogon-Bat ou la philippine Darna. L’article, paru ce jour, est aussi consultable en ligne, sur le site du Parisien en cliquant ICI (et sinon la bande annonce de “Comment je suis devenu super-héros” est ci-dessous)